He left She is coming |
It is the end and it is the begining it is the cycle law Some go to work when others go sleeping |
The moon invites us to sleep
but obligations of the day frustrated us of our desires The moon invites us to sleep but she says to us low thus take a little freedom as long as reign peace… |
La
lune nous invite au sommeil mais les obligations de la journée nous ont frustrés de nos envies La lune nous invite au sommeil mais elle nous dit tout bas prends donc un peu de liberté tant que règne la paix... |
Le
soleil s'est
couché sur mon temps perdu laissant dans l'ombre la caisse à outils les dossiers du jour et les travaux en cours. Demain il faudra courir plus loin mais avant nous ferons une trêve ce soir nous irons danser dans une boîte, dans un rêve, sur la grande table de la salle à manger comme en Espagne les soirs d'été nous chanterons des chansons venues d'ailleurs, à l'unisson comme les inuits dans le froid de la nuit polaire cette nuit nous ferons des prières nous partagerons nos fièvres et nos délires nous veillerons la nuit entière nous dormirons dans un profond soupir... |
The
sun lay down over my wasted time leaving in the shade the toolbox files of the day and works in progress. Tomorrow it will be necessary to run further but before we will make a truce this evening we will dance in a box, in a dream, on the large dining-room table as in Spain evenings of summer we will sing songs come besides, in unison like the Inuits in the cold of the polar night this night we will make prayers we will share our fevers and our be delirious we will take care the whole night we will sleep in a deep sigh… |
Madam the
Night Always it and never the same one! Like every day, she came, mischievously, without making of noise, to sound twelve blows Madam the night hour which exposes our bodies. Hour when the thick anguish is melted of thousand thoughts which clink at the following day of which you make fun on some cloths which the love creases. Dull inquietude, do not go you To conceal to you at least, for once to stop your cinema and to leave deaths to the demise. They circle the butterflies around the light of joy. Let us listen to it, twenty four times, merry music of the crickets. Roving in darkness We go well to the unforeseen one A freedom which night celebrate where imaginations are welcome… Envy food, strong and without truce, The hour appears love begging, fertilizing the mother of our dreams, vague conscience of unconscious… The night came to turn on the lights On a marvellous song, the song of lovers Who are proud of their body, who hug for a play. And that their dreams carry in only one prayer. |
Madame la Nuit Toujours elle et jamais la même ! Comme tous les jours, elle est venue, malicieusement, sans faire de bruit, sonner douze coups madame la nuit heure qui met nos corps à nu. Heure où se fond l’épaisse angoisse de mille pensées qui s’entrechoquent au lendemain dont tu te moques sur quelques draps que l’amour froisse. Sourde inquiétude, ne vas-tu pas Te taire au moins, pour une fois pour arrêter ton cinéma et laisser les morts au trépas. Ils virevoltent les papillons autour de la lumière de joie. Écoutons-la, vingt quatre fois, la gaie musique des grillons. Vagabondant dans les ténèbres Nous allons bien à l’imprévu Une liberté que nuit célèbre où fantaisies sont bienvenues... Envie de vivre, forte et sans trêve, L’heure se révèle amour mendiant, fécondant la mère de nos rêves, vague conscience de l’inconscient... La nuit est venue pour allumer les lumières Sur un chant merveilleux, le chant des amoureux, Qui sont fiers de leur corps, qui s’étreignent pour un jeu. Et que leurs rêves portent en une seule prière. |
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