Tout
ce que je vous souhaite c'est de la voir un jour C’est un enchantement qui soigne les blessures Des cœurs déchirés par toutes les ruptures De cette course contre la mort, de ce long voyage sans retour. Aussi seule que tu sois ne pleure plus, Fille des fées, ne renie pas tes origines, Ta blanche pureté et tes vertus lutines, Par le bras d'Excalibur tu seras secourue, Ne perd pas espoir petit troubadour, Ton amour n'est pas mort, roule et roule petit tambour. |
Soleil
d’hiver Rien il n’était rien ce dimanche Qu’un cœur qui fait la manche Ni le bleu du ciel Ni le pâle soleil Ne pouvaient réchauffer Le solitaire qui se promenait Près des arbres alliés Le vert tendre des herbes Le rassurait un peu Ses pensées partaient en gerbes D’étincelles de feu Elles le brûlaient de l’intérieur Comme la sueur de ses erreurs Dans le souvenir des fleurs L’éclat des boulots argentés Lui apportait oboles de joie La force des pins bravant le froid Lui promettait bonne santé Mais ne pouvaient les maux guérir Car les mots ne pouvaient sortir Prisonniers du verbe quérir. Alors tu es venue d'hiver comme la fleur de l'espérance me bisouter comme un pivert écrire et sceller notre alliance. Vive la vie porteuse d'espoir Étoile d'amour tu es ma gloire Mon droit du sang et mon devoir. Car le coeur de l'hiver est sain Et doux en sa rude saison Dame Nature donne de son sein terre de fleurs et ciel de bourgeons lettres d'espoir et de noblesse primevères comme autant de promesses Jonquilles comme autant de caresses. |
Pluie de fleurs
Pardonnes-moi si j'ose, le dire sincèrement Tes bisous oeuvre d’art sont comme une pluie de fleur Comme mille sources d'eau vive de la montagne descendant En rayons de lumière venus de l'intérieur Ici je vois même l’arythmie de ton cœur de ton âme, la profondeur la foudre n’aurait pas plus d’effet sur moi que toutes tes pensées auxquelles je crois. Quel trouble immense t’as donc saisi ? Essoufflement du cœur, panique de l’esprit, Tu vas comme un coureur, au-delà de tes forces, Atteindre la sève en enlevant l’écorce. Non contente d'être femme, tu es plus qu'une reine, Tu ressuscites ce que la mort m’avait ôté Un sang pur et loyal coule au coeur de tes peines, À moi chaque jour,tu donnes ta beauté. Oh toi délicatesse ! oh toi crystal sensible ! De toutes tes vibrations quand me sera possible Au-delà de moi c'est tes rêves que j’aimerai Pluie d'instants de bonheur que je te donnerai. |
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